Quand tu dors ...

Je profitais de ton faux sommeil pour respirer tes cheveux, ton cou, tes joues brûlantes en les effleurant à peine pour que tu ne te réveilles point ; toutes caresses qui ne sont pas, comme on le croit, la menue monnaie de l'amour, mais, au contraire, la plus rare, et auxquelles seule la passion puisse recourir.
Raymond Radiguet.

Parfois quand tu dors, j'écoute en toi respirer mon amour. Tu as en moi mon amour, j'ai ton amour en moi.
Tu peux dormir tranquillement mon amour, peu importe que tu sois loin de moi ou dans mon lit,
je veille et je veillerai à tes plaisirs.

Des nuits d'amour à plus finir, un grand bonheur qui se met en place.
Les ennuis, les chagrins s'effacent. Heureux, heureux à en sourire même quand on dort !